mercredi, mars 22, 2006

S'ils ne profitent pas du web 2.0 Pourquoi ne pas faire par ?

Nous parlons toujours du web 2.0 et des nouvelles occasions qui offre aux politiciens pour parvenir à s'approcher plus aux citoyens. Toujours nous nous regrettons qu'ils ne savent pas sortir tout le bénéfice qui devraient. Nous comptons toujours que des outils comme les blogs et les wikis favorisent le développement de l'activité en réseau des citoyens et de leur activité politique. Nous sommes convaincus que les réseaux sociaux sont le futur et d'il y a, le succès qu'obtiennent des services au style de frienster, mySpace, Tagged...

Parce que bon, si nous rassemblons toutes ces affirmations nous arrivons à la conclusion que nous sommes ceux que nous devons profiter de ces outils que nous offre le web 2.0 pour fortifier notre activité politique, nous arriverons à la conclusion qui s'ils ne sont pas nous devrons être nous. Et cette conclusion a été celle qui a promu la création de Essembly. Au moins ça a été l'idée qui a propulsé Joe Green qui en ayant connu à Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook.com et en ayant à ses dos le domaine pris part la campagne présidentielle de Kerry il a décidé de mettre en marche Essembly.

Essembly partisan de caractère politique est le premier réseau social, non. C'est un réseau qui se base l'affinité par profil politique, qui est défini sur base de effectuer des discussions, mais surtout avec l'acceptation ou non d'affirmations qu'effectuent les autres membres. Il peut entrer en discussion sur tout d'actualité proposé par un autre, ou par ceux proposés par un même.

En étant enregistré conversation un questionnaire de questions relatives à des sujets comme l'intervention de l'état sur le développement social, le libre marché, la violence et le sexe dans les moyens de communication, si les Etats-Unis a le droit d'exercer la guerre préventive... Allons un positionnement léger pour qu'ils puissent te situer dans le spectre politique "Américain". À partir de ce point chaque fois qu'on entre propose une affirmation d'une autre personne et la possibilité de la voter et d'ajouter un commentaire à ce sujet. On peut former des groupes, proposer des affirmations, de chercher utilisateurs, proposer des actions...

Une bonne manière qui peut rigidement comprendre l'action de la citoyenneté hors des normes et de l'idéologie souvent et qui est donnée par les partis dans un sens top-down.

Comment minimum est un outil intéressant et qui suis sûr que s'il avait une reproduction dans castillan il aurait assez d'acceptation. Je suis conscient que la structure politique est totalement différente aux Etats-Unis et en Espagne, le système de partis et représentatif sont très différents et qui l'action individuelle a toujours favorisé beaucoup plus là qu'ici. Mais puisque nous nous plaignons pourvu que nos politiciens ne fassent pas le plus correct Pourquoi ne pas faire par ?

PD, si vous il pique la curiosité et la voulez montrer le nez clikar dans la liaison suivante pour registraros http ://www.essembly.com/register/?code=k-government On n'a pas besoin d'une invitation et vous entrerez directement dans le groupe que j'ai formé. On m'oubliait une information par l'intermédiaire Personal Democracy Forum Technology is Changing Politics.

Le prouver !!!

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